Voilà la dream team d'Obama

                                

►DREAM TEAM  +1 VIDEO
            
            
            ►Quels sont les ingrédients du Team gagnant pour la campagne électorale américaine ? Qui, quand, où, comment... Oh oui, Obama, montre-nous le chemin !
            

                                    

            ►Obama, dernière ligne droite ►Les soutiens officiels ►La "Team Obama" : une équipe de choc ►Découvrez le plan stratégique d'Obama. ►JULIE SAULNIER / DSS             
                                    
                                     

                                                  

►Les soutiens officiels à Barack Obama n'en finissent plus de tomber.
            Le dernier en date : Al Gore, l'ancien vice-président et prix Nobel de la paix. Le réalisateur d'Une vérité qui dérange s'engage dans la campagne aux côtés d'Obama (>voir VIDEO 1).
            
            ►Autre soutien de taille, Patti Solis Doyle, l'ancienne directrice de campagne d'Hillary. Mme Doyle, qui avait quitté l'équipe Clinton en février, sera responsable du groupe de réflexion sur le poste du vice-président, que choisira Obama. (>Source : Le Monde). La question qui reste en suspend, celle de la nomination, ou non, de Hillary au poste de vice-président...
            
            
            VIDEO 1 (15'14'') 16/06/08. Detroit. "Yes we can". Al Gore ouvre son discours de soutien officiel à Barack Obama par ce slogan. Regardez un discours plein d'émotions...
            
            
            ►Pour la deuxième phase de sa campagne électorale, Barack Obama a basé son QG à Chicago, au lieu du traditionnel bassin politique, Washington. D'après Le Figaro du 12 juin, le 11ème étage du 233 North Michigan Avenue, est peuplé de jeunes en jeans et tee-shirts, postés derrière leurs écrans d'ordinateurs. Mais ces jeunes à peine sortis de l'adolescence sont très actifs, décrit le journal. Leur mission se décline en trois volets : répondre aux questions des journalistes, réfléchir à la stratégie à adopter et récolter des fonds... ils ne chôment pas ! Et d'ajouter qu'ils "ont en charge le plus vaste et puissant réseau Internet de l'histoire politique américaine". Tous sont focalisés sur le terrain, priorité numéro un d'Obama.
            
            >Capture Google Earth
            
            ►Le candidat démocrate est également entouré d'une garde rapprochée caractérisée par une loyauté sans faille. La moyenne d'âge de ce socle solide est plus élevée qu'au desk. "On est à la fois collègues et amis. C'est une équipe unie, pas un agrégat d'individus", déclare Robert Gibbs, le porte-parole d'Obama. Parmi cette garde rapprochée, on trouve quatre piliers : le stratège, le manager, la confidente et le compagnon de route (>Source : Le Figaro).
            
            
            

                                    
                                     

►En deuxième ligne sont regroupés plus de 200 conseillers techniques répartis par domaines. On y trouve  Anthony Lake, 68 ans, ancien conseiller de Bill Clinton pour la sécurité nationale, qui dirige l'équipe de politique étrangère. Il fait équipe avec Susan Rice, 48 ans, ancienne responsable des questions africaines au département d'État. Austan Gools-Bee, 38 ans, qui est professeur à l'université de Chicago, remplit la même fonction sur l'économie. "Chacune de ces personnalités contribuent à l'élaboration du programme et seront promises à des responsabilités dans l'Administration en cas de victoire". (>Source : Le Figaro).
            
            
            ►Outre ces deux fronts principaux, quatre "cerveaux" (non pas cinq ou six comme le dit Carla Bruni au sujet de Nicolas Sarkozy > voir Carla Hebdo) jouent un rôle crucial dans la stratégie électorale : le cartographe, l'argentier, le porte-plume et le webmaster... (>Source : Le Figaro).
                        
            
            

                                    
                                                  

             ►Alors que la première phase de la stratégie d'Obama, "le plan", se concentrait sur le changement, gagner la première primaire (Iowa) et glaner le plus de délégués, la seconde change radicalement. La nouvelle stratégie du "Team Obama" s'oriente principalement sur l'Irak. Trois personnages d'envergure au sein de la fine équipe sont fermement opposés au conflit en Irak, décidé par Bush. Al Gore, qui vient de se rallier, a déclaré : "Cette voie inquiétante que l'on s'apprête à emprunter en Irak, peut potentiellement endommager sérieusement notre capacité à gagner la guerre contre le terrorisme,et affaiblir notre capacité à conduire le monde dans ce nouveau siècle". (>Source : La vie en Amériques). Jim Webb, sénateur démocrate de Virginie, et possible co-listier pour la vice-présidence du "ticket" Obama, se positionne également contre : "La question n'est pas de savoir si on doit mettre un terme au régime de Saddam Hussein, mais plutôt si les Etats-Unis sont prêts à occuper physiquement des territoires du Moyen Orient pendant 30 à 50 ans".(>Source : La vie en Amériques). Enfin, Barack Obama lui même a dit de la guerre en Irak : "Je ne suis pas opposé à toutes les guerres, mais je suis opposé aux guerres idiotes" (>Source : La vie en Amériques). L'économie, la fiscalité et l'assurance-maladie sont aussi les nouveaux chevaux de bataille du candidat démocrate. De son côté, John Mc Cain profite de l'inexpérience de son concurrent et axe sa communication sur la politique extérieure... Les débats entre les deux candidats promettent d'être hauts en couleurs !
            

                                    
            
            
             
            

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